Nous sommes aujourd’hui dans un monde sans foi ni loi, il n’y a désormais plus que la survie qui compte. Ces événements signaient la fin d’une ère, la fin de l’humanité ou presque… Ainsi, trois mois seulement après la “catastrophe”, le jour J, il n’existe plus de gouvernement, il n’y a plus de politique, plus d’économie, plus de justice, plus d’hôpitaux,... L’humanité elle-même semble être anéanti alors que quelques hommes tentent encore de survivre. Il n’y a plus d’électricité, plus d’internet, plus de téléphones portables, ou de télévisions. Pour les êtres humains encore en vie, il n’est plus que questions de survie et rien d’autres, c’est tout ce qui importe.
Nous sommes aujourd’hui dans un monde sans foi ni loi, il n’y a désormais plus que la survie qui compte. Ces événements signaient la fin d’une ère, la fin de l’humanité ou presque… Ainsi, trois mois seulement après la “catastrophe”, le jour J, il n’existe plus de gouvernement, il n’y a plus de politique, plus d’économie, plus de justice, plus d’hôpitaux,... L’humanité elle-même semble être anéanti alors que quelques hommes tentent encore de survivre. Il n’y a plus d’électricité, plus d’internet, plus de téléphones portables, ou de télévisions. Pour les êtres humains encore en vie, il n’est plus que questions de survie et rien d’autres, c’est tout ce qui importe.
Evénements
Au fil de son évolution et de son histoire, l’Homme a découvert et a appris tant de choses qu’il en a oublié la chose la plus fondamentale et la plus basique de notre univers : son rapport avec la nature. Une chose a toujours été vraie et le sera toujours, la nature est le mur porteur de cette planète, elle en est la pièce maîtresse. Ce sont les règles imposées par la nature qui nous ont permis de nous élever au dessus des autres espèces animales et ce sont certainement les mêmes règles qui nous extermineront… En 2015, l’être humain a conquis tellement, a découvert et a appris tellement et pourtant il s’est tellement enfoncé dans l’illusion que personne ne s’est rendu compte de rien. Le gouvernement a préféré cacher la vérité et les médias n’ont fait que de détourner la réalité. Un des avions qui s’était écrasé en début d’année transportait probablement une des cargaisons les plus importantes de toute l’humanité.
“Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements.”Charles Darwin
Au fil de son évolution et de son histoire, l’Homme a découvert et a appris tant de choses qu’il en a oublié la chose la plus fondamentale et la plus basique de notre univers : son rapport avec la nature. Une chose a toujours été vraie et le sera toujours, la nature est le mur porteur de cette planète, elle en est la pièce maîtresse. Ce sont les règles imposées par la nature qui nous ont permis de nous élever au dessus des autres espèces animales et ce sont certainement les mêmes règles qui nous extermineront…
En 2015, l’être humain a conquis tellement, a découvert et a appris tellement et pourtant il s’est tellement enfoncé dans l’illusion que personne ne s’est rendu compte de rien. Le gouvernement a préféré cacher la vérité et les médias n’ont fait que de détourner la réalité. Un des avions qui s’était écrasé en début d’année transportait probablement une des cargaisons les plus importantes de toute l’humanité.
Un scientifique dont le nom n’a plus d’importance avait découvert un virus ou une bactérie qui aurait pu changer le cours de l’humanité. Le réchauffement climatique ouvrait de nouveaux territoires, inaccessibles avant la fonte progressif des glaces. La Sibérie en fait partie. En 2015, un virus encore actif avait été trouvé dans ces étendues glacées. Si il avait été déclaré inoffensif pour l’humain, ce ne fut pas forcément le cas de tout les autres virus retrouvés sur ce site de fouilles. L’un d’eux présentait en particulier un risque car se développant sur l’Homme. Sa découverte fut passé sous silence et après des résultats d’analyses alarmantes, l’équipe scientifique décida de le déplacer dans un laboratoire plus sécurisés pour empécher tout incident.
Tout avait été préparé, tout avait été planifié pour que cet homme et sa valise soit amené d’un point A à un point B sans encombre et surtout sans que personne ne soit au courant. Hasard ou coup du sort, allez savoir comment, mais des gens mal intentionnés ont appris la nouvelle et tout a basculé. On ignore réellement ce qu’il s’est passé ce jour là mais l’avion qui le transportait s’est écrasé dans les eaux profondes du Pacifique et on n’en a plus jamais entendu parlé. Imaginez qu’un virus, que cette chose que ces scientifiques farfelus avaient créé dans un laboratoire découvre pour la première fois notre univers. Va-t-il survivre ? Comment va-t-il réagir ? Comment peut-on avoir une simple petite idée de ce qu’il va se produire ? C’est ce que des biologistes se sont efforcés de comprendre et d’anticiper durant les années qui ont suivis mais les technologies limitaient considérablement leur travail, les hommes étaient dépassés … En trois ans, le virus s’est développé, a parcouru les eaux du monde entier, s’est évaporé et s’est changé en pluie à de nombreuses reprises contaminant l’intégralité de la population mondiale…
C’est en 2018, trois mois seulement après la tragédie, que débute notre histoire. En quelques jours, l’humanité toute entière était anéanti d’un revers de la main, comme si ce n’était rien. Cela avait commencé dans les squats et dans les hôpitaux. Au départ il y avait eu des bruits de couloirs, des rumeurs mais personne n’y prêtait vraiment attention. Les médias parlaient de violences et de drogues durs, d’erreurs policières. Les gens se révoltaient, ils parlaient de complots et de mensonges. Puis les chaînes d’informations ont commencé à parler d’un virus, quelque chose qui rendait les gens fous. Plutôt que de s’entraider et chercher à comprendre ce qu’il se passait, ils ont pillés et saccagés les magasins et les rues. Tandis que les hommes et les femmes semaient le chaos sans raison particulière, la mort se répandait petit à petit sur la planète. Et avant même que les scientifiques ne puissent se demander qui était le patient 0, il était trop tard… Ils étaient dans les rues, ils étaient partout. Les gens ont commencé à se faire dévorer, c’était la panique totale. En quelques jours, les villes furent évacués tant bien que mal. Pour certaines, cela fut une catastrophe, pour d’autres cela se déroula sans encombre. Les villes étaient infestés par les morts, ceux qui n’eurent pas la sagesse de quitter les villes à temps étaient déjà mort. La plupart des médias et des radios avaient déjà cessé d’émettre et on pouvait voir constamment les lumières s'allumer et s’éteindre dans les villes. Trois jours après l’évacuation, les gens s’étaient installés dans des camps de réfugiés, des petits campement de fortune fortifiés à la va-vite sous protection militaire. On bombardait des villes entières au napalm, on organisait des sortes de raid pour éradiquer les morts-vivants. Au bout d’une dizaine de jours, les camps de réfugiés furent réduits en poussière.. Les militaires avaient soit abandonné leur poste pour survivre et échapper à l’inévitable, soit les camps avaient été submergé par des hordes de ces zombies. Dix jours plus tard, il n’y avait plus rien, il n’y avait plus d’armée, plus de gouvernement, plus de politique, de justice ou d’économie, plus d’internet, de téléphone portable ou d’électricité, plus de nouvelles technologies, plus de classes sociales, de bien ou de mal.
Nous sommes aujourd’hui dans un monde sans foi ni loi, il n’y a désormais plus que la survie qui compte. Ces événements signaient la fin d’une ère, la fin de l’humanité ou presque… Ainsi, trois mois seulement après la “catastrophe”, le jour J, il n’existe plus de gouvernement, il n’y a plus de politique, plus d’économie, plus de justice, plus d’hôpitaux,... L’humanité elle-même semble être anéanti alors que quelques hommes tentent encore de survivre. Il n’y a plus d’électricité, plus d’internet, plus de téléphones portables, ou de télévisions. Pour les êtres humains encore en vie, il n’est plus que questions de survie et rien d’autres, c’est tout ce qui importe.
